On peut continuer les énumérations pour designer le fourmillement de vie produit par America Boulba.
Tarace Boulba a ainsi donné son funk dans des écoles, des grandes scènes de festival, des petites scènes locales, des salles de concerts, des rues, des bois, des allées, des block party, des squatts, des backyards, des parking, dans le bus, des parcs, des cours, au bords de l’eau…

Mais si une des réalités de cette belle aventure peut se chiffrer, les sentiments et sensibilités provoqués par ces rencontres à tous les niveaux, cela ne se mesure pas.
Au fil des jours chacun des musiciens de la tournée retrouvera des traces de ce périple dans sa pratique de la musique mais pas uniquement.
Impossible donc de mesurer ce que ce genre de voyage change en chacun de nous, et donc impossible pour le moment de répondre au fameux  » alors, c’etait comment ? » trés courant en ce temps de retour, auquel réponds souvent un aussi peu fiable qu’incomplet : « euh…bien ! « .

Une histoire qui se poursuit donc et dont l’écho pourra résonner longtemps, à parcourir par grandes étapes ou au fil des dizaines de vidéos ou d’articles, des centaines de photos et des sons.