Nueva York

Big apple, aka New York : la mégapole cosmopolite par excellence. Vitesse, vertige, lumière, pas de mensonge sur cette mégapole, elle est le lieu de tous les excès, de tous les mélanges et comme partout au usa de tous les commerces.

Voila les impressions qu’un taracien lambda pourrait avoir en foulant le sol de Manhattan ou Brooklyn.
New York ce sont cinq quartiers, une ville très étendue dans laquelle nous sommes à l’affiche sur deux lieux : hier soir le Zebulon café et demain le moins officiel Rubulad.

Situé pres de Bedford Street, quartier assez bourgeois bohème, Zebulon café est un lieu tenu par des français dans lequel certains d’entre nous ont déjà trainé leur sax. Réputé pour certaines soirées avoir une programmation musicale fréquentable intéressante, nous sommes accueilli pour y donner deux sets de quarante cinq minutes.

Nous mettons en route le funk machine vers 23h pour deux sets devant la centaine de personnes que peut contenir le lieu dans une ambiance accueillante.

Premier concert donc qui nous fait du bien à tous, public et musiciens.

Demain, grosse journée, la dernière avant l’avion vers Paris.

Nous commencerons par un concert dans la block party organisée par un collectif d’artiste nommé Madagascar. Ouverture d’un marching vers 21h avant de partir vers un lieu aussi freak qu’informel : Rubulad. LE squatt dont on entend parler de New Orléans à Reading, ou sur la côte ouest. Grosse soirée en perspective articulée autour de plusieurs salles sur différents niveaux parmi lesquels nous jouerons deux concerts à 22h puis si tout va bien vers 03h.

Aujourd’hui vendredi, seul jour off à New York, est pour la plupart l’occasion d’user les semelles et vider les porte monnaie tandis que nous, Rachid et moi, nageons dans les paperasses pour finaliser la vente du bus. Belle journée pour aller chez le notaire donc.

Rendez vous est donné pour se retrouver demain, journée longue qui se finira par les transferts vers les aéroports, car en effet, le retour de tous se fait en trois groupes, trois avions différents à trois heures différentes. Certains même, ne rentre pas de suite en France et profite de l’occasion pour continuer leur périple américain.